Extrait des émissions "Lo Tedhal-La Takhaf"
Celui qui a la Foi bien ancrée dans son cœur, ne craint rien. A tel point que, sa dernière heure venue, il fait part à ses proches de ses désirs concernant son cercueil, ses obsèques…
De Gaulle demanda qu’on le couche dans un simple cercueil en bois. Les plus grands de ce monde n’ont pas souhaité de grandes obsèques, car ils avaient atteint la Vérité.
Au XIXème siècle, un écrivain français, Louis Veuillot, consacra une quarantaine d’années de sa vie au service de Notre Seigneur. Lorsqu’il sentit venir sa dernière heure, il demanda, dans son testament, de déposer dans son cercueil : sa plume d’écrivain, le livre qu’il était en train d’écrire à ses pieds, une image du Christ son Sauveur sur sa poitrine et, au-dessus du cercueil, la Croix. Il réclama aussi cette simple épitaphe :
"J’ai cru, à présent je vois.
J’ai servi mon Seigneur, j’ai faibli, j’ai failli, j’ai douté.
Mais, grâce à Lui, j’ai triomphé.
Tout ce que je peux affirmer, c’est ce que je n’ai pas eu honte de Lui,
Et qu’il ne rougira certainement pas de moi.
Je sais très bien que je ressusciterai
Et que la mort n’est que le visa pour rejoindre ma destination finale".
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