“Suscite, Seigneur, au cœur de ceux qui te servent les désirs purs, les désirs forts, qui les préparent au mystère de l’Incarnation de ton Fils” (Oraison de l’Avent).

La joie de donner peut se vivre. Elle est plus difficile à dire. Souvent vécue dans le silence, par pudeur. Ne pourrait-on pas se demander comment une infirmière, qui côtoie quotidiennement la douleur, peut arriver à éprouver de la joie ?

Futur papa, future maman, pour la première fois...

Outre la déclinaison du décalogue, l’inopportunité de l’adjectif possessif, le temps du Pardon pour le passé simple, celui de l’Espérance pour le futur, et le vécu dans la confiance pour le temps présent, cette grammaire chrétienne dispose d’un chapitre insolite comme un paradoxe : le nom propre “JOIE” se compose souvent avec celui de “CROIX”!