Editorial : Bertrand Lemaire

Bien beau ce « crédit de confiance » envers le Pape ! Mais les papes Borgia, et bien d’autres, ont fauté, se sont trompés, alors pourquoi pas « François » ?

Comment se fait-il que beaucoup de « tenants de la Tradition » se libèrent allègrement d’une tradition bien ancrée dans le cœur de l’Église catholique ?

Je compare l’Église de Jésus Christ à un diamant de qualité unique dont chaque Pape vient ciseler une nouvelle facette et, à sa manière, apporter une vibration lumineuse supplémentaire à l’ensemble de ce diamant.

Pendant 2000 ans, le monde entier et les catholiques, ont accepté que le successeur de Pierre soit imprégné d’un esprit européen.

Le Pape est l’un des personnages les mieux informés au monde : 183 ambassadeurs au Vatican (sur 197 pays reconnus par l’ONU).

Depuis 7 ans maintenant, et probablement jusqu’au dernier jour de son pontificat, le Pape François ne fait que réaliser et dire ce qu’il a écrit dans sa première Exhortation apostolique « la joie de l’Évangile ».