editorial

Le sourire est une des rides gravée dans tout visage lo thedalien : «Seul le Christ est source de notre joie. C’est à Lui que nous adhérons. Vivre de Lui, c’est être assuré que la source de notre joie ne tarira jamais qu’il fasse beau ou que s ‘amoncellent les nuages dans le ciel de nos vies. Cette joie qui nous anime, si nous sommes conscients du trésor que nous portons en nous, ne doit jamais demeurer cachée. Telle la lumière, elle doit irradier. Elle doit être contagieuse.» (Spiritualité de Lo Tedhal)

La source de notre joie ne tarira jamais

Dans un premier temps le Pape procède à une lecture détaillée de la «table des matières» de nombreux textes de l’Ancien Testament d’où jaillissent une véritable explosion de joie qui, venue du ciel, doit irriguer la terre entière.

Puis le Pape se penche sur la «table des matières» de l’incitation à la joie engendrée par l’Incarnation de Jésus et tout au long de sa vie terrestre.

Lire la suite...  

Lo Tedhal à la lumière de l'Exhortation ApostoliqueLe pape François vient de porter à la connaissance de tous les consacrés et de tous les fidèles laïcs un document que chacun n’a peut être pas eu, ou pris le temps, de lire et de relire. Il s’agit du «discours programme» de tout un pontificat, visiblement inspiré par l’Esprit Saint.

A l’évidence «l’esprit Lo Tedhal» se retrouve «comme un poisson dans l’eau» dans le désir exprimé par le Saint Père de retrouver certaines racines de l’Evangile, par trop occultées à notre époque.

Pour mettre en appétit ceux d’entre nous qui ont déjà pris la précaution d’avoir sur leur table de nuit ce document dans l’attente d’une lecture possible, nous vous proposons chaque semaine de porter à votre connaissance quelques traits caractéristiques d’un document qui ouvre une ère totalement renouvelée pour notre église.

Lire la suite...  

Aveux d’une grand-mère aux pères “vagabonds” de ce siècle 

Chers pères "vagabonds" de ce siècle.

Nos lamentations réitérées, et nos revendications, parfois vindicatives, de mères de familles devant "l'absentéisme familial" auquel vous êtes professionnellement contraints - ou quelquefois il est vrai enclins - m'ont incitée à faire mon propre examen de conscience. Mon expérience de 30 années de bonheur de "mère au foyer" me conduit à "passer à des aveux complets" sur des joies que vous, pères si souvent absents, vous semblez ignorer. Certaines sont inavouables, mais j'ai décidé d'aller au bout de mes aveux, et je commencerai donc par celles-ci.

Vous n'avez jamais eu le temps, bien sûr, de vous voir à la veille d'une rentrée scolaire, investir le magasin de chaussures, étaler fièrement sous le nez de la vendeuse 12 sandales éculées, et demander à haute voix :" Une paire de chaussures pour les 2 aînés, mais du solide qui fasse les 6 !" Quant aux enfants, ils ont appris depuis longtemps la leçon de sagesse dédaigneuse à donner à "l'affreux jojo" qui escalade les banquettes, et dont la mère tente en vain de satisfaire tous les caprices en faisant déballer tout le magasin ! Vous rentrerez à la maison, chers pères, au moment où la sarabande des 6 "chérubins" nous fait savoir l'exact prix de la dite leçon ! Qu'importe votre emportement, notre fierté n'a pas de prix !

Lire la suite...  
En tant que responsable d’association familiale, je me suis soudain aperçu qu’à force de côtoyer un certain nombre d’organismes publics au service de la famille, je m’étais habituée à employer leur langage, à savoir, accoler automatiquement un adjectif au mot “famille” : nucléaire, monoparentale, recomposée, élargie, nombreuse, disloquée, etc. Prise de conscience douloureuse qui exigeait aussitôt la nécessité de fuir ces dérives actuelles pour retrouver le vrai sens de ce si beau mot “la famille”. Le bonheur de relire les œuvres du Père Labaky m’a permis de comprendre le charme et le rayonnement qu’exerce toute famille, quand elle n’oublie pas ses fondements essentiels.

Si ''Famille'' m'était contée...La famille est avant tout une communauté de générations qu'unissent une même tendresse, dont la communauté de vie est la première expression : malgré la guerre et ses destructions, malgré bien des influences extérieures, demeure, au Liban, la maison familiale qui abrite grands-parents, parents et enfants, s'agrandissant ou se multipliant au fur et à mesure des naissances et mariages. "C'est ma maison, d'autant plus vibrante qu'elle s'entremêlait aux autres maisons" dit Nassim dans "L'Enfant du Liban". Dans de nombreux villages, des quartiers entiers ont fini par porter le nom de la famille d'origine. Les enfants n'y sont jamais esseulés ou désœuvrés, connus de chacun et accueillis par tous. "Ici, personne n'est seul. Ici les enfants ont cent pères et cent mères et encore bien plus de geddos et de tétas" (Kfar Sama, Village du Liban).

Lire la suite...  

La famille

 

Un nid où naît et s'épanouit le tout petit

Bercé d'amour, de sourire, d'éveil à la vie.

 

Un havre où il fait bon se retrouver le soir

Après le travail, la fatigue et les devoirs.

 

Une maison à chacun et chacune ouverte

A toute heure du jour et quelle que soit sa quête.

 

Un "chez soi" chaleureux où scintille la flamme

Du feu qui brûle dans l'âtre et au creux de l'âme.

Lire la suite...  
Powered by Tags for Joomla