La liturgie de la solennité de la Toussaint, que l'Église célèbre aujourd'hui avec joie, nous transporte dans une vision du ciel avec la première lecture tirée du livre de l'Apocalypse. Il faut fixer notre attention sur plusieurs éléments qui nous aident à pénétrer l’univers symbolique décrit dans ce livre.
Méditations: Padre Damiano Puccini
Prière et précarité
La première lecture d'aujourd'hui, tirée du livre de Ben Sira le Sage, nous ramène à la nature de Dieu en tant que juge, qui sait évaluer avec impartialité les actes de l'homme et les événements de l'histoire.
Ne jamais baisser les bras!
Dans la première lecture de ce dimanche, tirée du livre de l'Exode, la figure de Moïse apparaît comme celle de celui qui prie et intercède auprès du Seigneur pour le salut d'Israël, en route vers la Terre promise.
Le triomphe de la gratuité
La liturgie de ce dimanche, dans la première lecture, nous présente la figure d'un étranger capable de reconnaissance, fruit de sa grande foi. Cet homme est guéri,non seulement à l'extérieur, mais également à l'intérieur.
Pourquoi?
Dans la première lecture, le prophète Habakuk se sent perdu face à cette question majeure : "Pourquoi le Seigneur reste-t-il spectateur devant l'oppression ? Est-il alors encore possible de croire?". Combien de fois nous sommes-nous aussi retrouvés dans cette même perplexité ! Habakuk est découragé. Le petit peuple israélien, obstiné, doit constamment lutter pour survivre contre les puissances qui l'assiègent.
Un désir irrépressible d’éternité (Lc 21,29-33)
Dans le climat apocalyptique de la fin des temps, décrit dans les évangiles de ces derniers jours, nous trouvons aujourd'hui, en guise de conclusion, la parabole du figuier, assortie de la merveilleuse promesse de Jésus: les cieux et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront pas.
Plus d'articles...
Page 20 sur 21
<< Début < Précédent 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 Suivant > Fin >>